M. Pansy Parkinson
◮ SORTS JETES : 25 ◮ DATE D'INSCRIPTION : 06/02/2013
| Sujet: Pansy Ҩ On le tue maintenant ou on attend ? Mer 6 Fév - 19:30 | |
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malicia pansy parkinson « we accept the love we think we deserve. » Nom • Qui ne connait pas le nom Parkinson parmi la communauté des sorciers ? Prénoms • La demoiselle a hérité des prénoms Pansy et Malicia, comme ses grands-mères. Date de naissance • Elle est née le 24 février 1980. Âge • Elle est en septième et dernière année, elle a donc 17 ans. Maison • Serpentard bien sûr, il ne peut en être autrement. Métier • Elle est élève et pense se destiner à une carrière de médicomage. Avatar • La jolie Kaya Scodelario. Crédit • Alaska pour l'avatar, tumblr pour le gif. | Baguette • Pansy n'a pas mis longtemps à trouver la baguette qui lui conviendrait : bois de rose, vingt-sept centimètres, extrêmement souple, possédant en son coeur un cheveu de velane. Balais • Elle possède un feuopoudre mais ne prête guère attention à sa valeur : le Quidditch et le vol, très peu pour elle. Epouventard • Son épouvantard représente sa mère, aussi étonnant que cela puisse paraître. Ridiculus • Le sort ridiculus rend sa mère blonde, grosse et moche, peint ses vêtements en rose et le chat noir qu'elle passe son temps à caresser ses transforme en gros matou blanc qui pousse des miaulements stridents. Patronus • Son patronus ne lui correspond absolument pas : il s'agit d'un lapin aux longues oreilles. Matière préférée • Sa matière préférée est le cours de potion avec le professeur Rogue. Matière détestée • La matière qu'elle aime le moins est sans doute le cours de botanique avec Chourave. Rêve d'avenir • Si on lui donnait le choix, Pansy se marierait avec Drago malefoy à qui elle ferait une ribambelle d'enfants et deviendrait médicomage, et mannequin peut-être. |
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..IL ETAIT UNE FOIS.. ..IL Y A BIEN LONGTEMPS.. « Comment s’appelle cette jolie créature ? » susurra Bellatrix Lestrange en observant le bébé aux yeux bleus qui poussait des petits cris en secouant les bras, l’air contrarié. « Nous l’avons appelée Pansy. » répondit la femme en caressant la joue de l’enfant du bout des doigts. « D’ailleurs Bella, nous aimerions que tu en sois la marraine. » ajouta son époux en passant un bras autour de la taille de Madame Parkinson. La sorcière répondant au nom de Bellatrix gloussa et frappa dans ses mains, visiblement ravie, ou faussement contente de pourvoir ce titre. Durant tout le mois de février, sorciers et sorcières de la haute bourgeoisie se pressèrent au manoir Parkinson pour célébrer l’arrivée d’une nouvelle Sang-Pur dans la communauté. Il était triste de constater qu’à peine après avoir ouvert les yeux, la petite Pansy avait une vie déjà toute tracée : elle épouserait un autre sorcier de Sang-Pur, vivrait dans un manoir tout aussi sombre que celui de ses parents, haïrait les Sang-Mêlés et les Sang-de-Bourbe, nagerait dans l’argent … Oui, c’était à peu près la vie qu’on lui prêtait déjà. Et chacun semblait s’en extasier, et elle se contentait de gigoter et de pleurer, et de rire, et de manger, ne comprenant pas que son avenir n’avait rien d’excitant. Qu’il serait difficile. Et triste. Et qu’elle regretterait parfois d’être née à cet endroit-là à ce moment-là, même si ça elle ne l’avouerait jamais. Car si Pansy Parkinson était née dans une famille différente, serait-elle celle dont tout le monde dit d’elle qu’elle est une peste, une garce, une idiote, le chien de garde de Malefoy ? Les gens la détesteraient-ils comme ils la détestent ? Et elle, serait-elle obligée de détester les autres ? « Une future Serpentard, comme ses parents. Félicitation. » déclara Monsieur Malefoy en serrant la main de Monsieur Parkinson, tandis que leurs femmes respectives s’enlaçaient. Le destin des Malefoy et des Parkinson était irrémédiablement liés.
Pansy plaqua sa main sur sa bouche, ne pouvant plus s’arrêter de tousser. De grosses larmes coulaient de ses yeux rougis, elle frappait sur la porte de sa chambre avec sa main libre, suppliant qu’on vienne lui ouvrir. La fumée épaisse l’étouffait, lui arrachait les poumons, lui faisait tourner la tête. « Papa, maman ! Je vous en supplie ! » La chaleur était suffocante, elle ne pouvait plus supporter ça une seconde de plus. Elle tomba à genoux en se tenant la gorge. Sa dernière pensée fut que mourir, ce n’était pas drôle. A ce moment-là, la porte vola en éclat et un bras puissant la souleva, tandis que tout disparaissait autour d’elle. La petite fille passa plusieurs jours à Sainte-Mangouste, on la traita pour intoxication à cause de la fumée. « Qu’est-ce qu’il s’est passé ? » murmura-t-elle en serrant la main de son père dans la sienne. Ce dernier sourit un instant. « Tu as eu ta première révélation magique Pansy, ce n’est pas grave. L’essentiel, c’est que tu ailles bien. » Son père lui témoignait rarement son inquiétude. Elle ne sut pas si elle devait être heureuse d’être en vie, d’avoir des pouvoirs comme ses parents, de savoir que son père l’aimait … Ou malheureuse que sa mère coupe court à toute discussion en lâchant un : « En attendant tu as ruiné tout le second étage du manoir. Bravo, franchement. » agressif et agacé. Durant les jours qui suivirent, ses amis sorciers de son âge vinrent la voir. Debout sur son lit, vêtue de sa petite robe d’hôpital, Pansy relatait ses aventures de façon héroïque, déclarant qu’elle avait tenté en vain de sauter par la fenêtre mais que sa route avait été barrée par une gigantesque flamme. Crabbe et Goyle la regardaient avec de grands yeux, fascinés. Et Malefoy, lui, se contentait de lire le magazine de mode posé sur sa table de chevet. « Hé Drago, tu m’écoutes ? » s’exclamait-elle, vexée. « Ouais ouais. » se contentait-il de répondre, avant de se plonger de nouveau dans sa lecture.
« Pansy Parkinson. » lança la voix inquisitrice du professeur MacGonagall. La demoiselle s’avança d’un pas confiant vers le Choixpeau magique, sachant déjà où elle irait avant même qu’on le lui dise. Au fond, elle appréhendait quand même : et si jamais elle était envoyée ailleurs, dans une autre maison ? Est-ce que ses parents et ses amis lui en voudraient ? Le vieux bout de tissu fut posé sur sa belle chevelure d’ébène et la sentence ne tarda pas à tomber : « Serpentard ! » Un sourire ravi illumina son visage et elle sautilla gracieusement jusqu’à la table des vert et argent, sous un tonnerre d’applaudissement. Pansy adorait qu’on lui accorde autant d’importance, qu’on la regarde. Elle tenait ça de sa mère, il fallait croire. Elle s’assit à côté de Drago, en face de Crabbe et Goyle, prête à commencer véritablement sa vie. Parce que son arrivée à Poudlard fut comme une seconde naissance pour cette petite, terrifiée par sa mère qui la méprisait et l’élevait rudement et strictement, pourrie jusqu’à la moelle à onze ans à peine par le désir de pouvoir, de perfection, par l’argent. C’était devenu son principal but, dans la vie. Or à Poudlard, elle pourrait redevenir, momentanément, l’enfant qu’elle n’avait pas été. « Je vais tuer Potter. » marmonna Malefoy en mâchouillant sa cuisse de poulet. Pansy se tourna vers lui et posa ses poings sur ses hanches. « Quand même, refuser d’être ton ami dès le premier jour … Il a du culot. Je propose qu’on s’amuse un peu à l’embêter ! » Ils hochèrent la tête et éclatèrent de rire. Bon d’accord, Pansy ne serait peut-être pas aussi innocente qu’elle aurait voulu l’être. Pouvait-elle vraiment le devenir ? Non, il était trop tard. Chaque parcelle de son être semblait atteinte par le vice de ce monde, et la grande part d’humanité en elle était bien enfouie dans son cœur et dans son esprit. L’amour, l’amitié, tout ça la détruirait. Oui, un jour, Pansy ne serait plus bourreau mais victime.
Pansy était recroquevillée sur le canapé et fondit en larmes. Daphnée Greengrass et Millicent Bulstrode donnaient des tapes amicales sur son épaule, l’air gêné. Toutes deux étaient ses meilleures amies, même si Daphnée était la sœur d’Astoria, que Pansy détestait. Or les deux serpentard ne savaient absolument pas comment calmer la brune qui sanglotait depuis le début de la soirée. « Bon Pansy, faudrait peut-être nous dire ce qu’il y a … » bougonna Millicent, qui commençait légèrement (voire beaucoup ?) à perdre patience. Très mauvaise idée. La demoiselle se moucha bruyamment et releva ses yeux rougis vers ses amies, avant d’exploser : « Qu’est-ce qu’elles ont de plus que moi ces filles, hein ?! » Le silence se fit dans la salle commune des vert et argent, et tous décidèrent de fuir avant de subir le courroux de Miss Parkinson. « Je veux dire, regardez moi : je suis la reine des Serpentard, tous les garçons me veulent et je suis pas une attardée mentale ! Et à quoi j’ai droit ? Rien ! » Elle faisait de grands gestes théâtraux et Daphnée et Millicent suivaient davantage ses bras des yeux qu’elles ne faisaient attention à ce que disait Pansy. De toute façon, pour elles, ça n’avait aucun sens. Alors elle se mit à parler de Drago Malefoy, et de la lettre que lui avaient envoyé ses parents. Fiancée. Elle était fiancée. Ou du moins, promise à un garçon qu’elle connaissait à peine. Un garçon de Gryffondor, un Sang-Pur. Elle avait la nausée, se sentait plus prise au piège que jamais. « T’en fais du bruit Pansy … » l’interrompit Malefoy d’une voix froide et indifférente, comme il avait l’habitude de le faire. « Drago … murmura-t-elle, je suis fiancée. » Mais la seule chose qu’il se contenta de répondre fut « Ah, c’est bien. Félicitation. » Et quand il eut de nouveau le dos tourné, Pansy fondit de nouveau en larmes. Pourquoi l’aimait-elle à ce point ? Elle n’en savait rien. Mais cet amour la consumait, la détruisait. Alors elle perdit un peu plus foi en l’humanité. Elle avait quinze ans, et ce jour-là elle s’en souviendrait.
« Je refuse d’épouser Ronan, je ne l’aime pas ! Et il est à Gryffondor ! » hurla Pansy à l’adresse de sa mère, avec qui elle se disputait depuis un moment déjà à ce propos. Mais visiblement, cette fois, elle était allée beaucoup trop loin. Elle avala sa salive avec difficulté et fronça les sourcils en la voyant s’approcher d’elle d’un pas lent, pas certaine de ce qui allait se passer. Quand la main de sa mère s’abattit violemment sur ses deux jours, Pansy bascula et se cogna la tête contre l’armoire. « Ne discute plus jamais un de mes ordres Pansy. Tu m’entends ? Plus jamais. » La demoiselle hocha vigoureusement la tête et se réfugia dans ses draps. Elle n’en sortit que lorsque l’elfe de maison vint la chercher pour qu’elle se prépare. « Votre fiancé et sa famille sont là, il faut vous habiller et descendre. Sinon votre mère va se mettre en colère. » dit la créature avec bienveillance. Pansy la foudroya du regard et répliqua : « Ne me dis pas ce que j’ai à faire. Et ce n’est pas mon fiancé ! » Seuls les adultes parlaient, les enfants, eux, se taisaient. En fait, Pansy ne savait pas si elle était plus blessée qu’on la marie à ce Gryffondor, ou le fait qu’il semble dégouté à l’idée de l’épouser. Parce que oui, Ronan la regardait d’un air indifférent, voire légèrement distant, comme on regarderait un truc bizarre. Quand ils eurent l’occasion de se retrouver seuls tous les deux, elle pointa un doigt accusateur vers lui. « Au risque de te briser le cœur, je dois quand même t’annoncer que je me fiche éperdument de toi, et ne compte même pas poser la main sur moi ! » Il hausse les épaules et détourna le regard, las. « Ok. » répondit-il simplement. Pansy écarquilla les yeux. « Quoi, ok ? C’est tout ?! » s’écria-t-elle. Il hocha la tête. « Je ne compte pas toucher une fille qui se laisse tripoter par la moitié des garçons de sa maison, si ce n’est tous, juste pour rendre un abruti tel que Drago Malefoy jaloux. » Il fallut venir les séparer, sinon Pansy l’aurait sans doute tué.
Durant les deux années qui suivirent, les choses ne changèrent pas. Pas du tout. Pansy continuait de ronronner quand Malefoy était dans les parages, elle continuait d’entraîner Daphnée et Millicent dans des plans foireux, continuait de coucher avec des garçons dans l’unique but de rendre son cher et tendre jaloux, continua d’obtenir de bonnes notes, d’avoir peur de sa mère. La jeune fille refusa de retourner chez elle pour les vacances de noël, terrifiée à l’idée de voir sa génitrice. Elle s’était rapprochée de Ronan, dans les bras de qui elle allait pleurer au moindre problème. Et lui se contentait de l’écouter et ensuite de l’envoyer balader, ce qu’elle faisait en l’insultant. Mais au fond, c’était bien le seul qui l’écoutait sans être hypocrite, et elle avait besoin de lui. Pansy était sans conteste la fille la plus populaire de Serpentard, et pourtant elle se sentait plus seule que jamais. Elle avait également peur à l’idée de quitter l’école, il ne lui restait plus qu’un an. Sept ans de sa vie qui partirait en fumée. Sept ans, dont il faudrait tourner la page. Ses plus belles années, l’époque où elle avait vraiment compris ce que signifiait exister. | |
Ton prénom ou surnom • Alaska, alias Justine. Ton âge • 17 années, bientôt 18. Que penses-tu du forum ? • J'aime le contexte, et le design est frais ! (pour changer de tous les forums hp dont le design est entièrement noir) et j'espère qu'il y aura plus d'activité ! T'es arrivé là comment ? • Je cherchais un forum HP dont le contexte serait un peu alternatif. Code règlement • Validé par le Magnifique Mr Nott !i] Un dernier mot Jean-Pierre ? • [i]J'espère m'intégrer ici ! CODES BY RAINBOWSMILE
Dernière édition par M. Pansy Parkinson le Sam 9 Fév - 23:34, édité 19 fois |
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Le Choixpeau Magique
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| Sujet: Re: Pansy Ҩ On le tue maintenant ou on attend ? Dim 10 Fév - 10:56 | |
| Répartition « Si vous allez à Gryffondor, vous rejoindrez les courageux, les plus hardis et les plus forts sont rassemblés en ce lieu. » « Si à Poufsouffle vous allez, comme eux, vous s’rez juste et loyal ceux de Poufsouffle aiment travailler et leur patience est proverbiale. » « Si vous êtes sage et réfléchi Serdaigle vous accueillera peut-être là-bas, ce sont des érudits qui ont envie de tout connaître. » « Vous finirez à Serpentard si vous êtes plutôt malin, car ceux-là sont de vrais roublards qui parviennent toujours à leurs fins. » Et toi, Invité ta maison sera... SERPENTARD !
© b r o k e n . d r e a m s
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