Hermione descendait les marches de a volière, les sourire au lèvres, elle adorait envoyer des lettres à ces parents, cette fois ci elle ne leur avait pas tout dit contrairement à d'habitude. Elle avait bien sûr préciser qu'elle avait reçu déjà son premier optimal, à peine l'année commencer, que le voyage dans le train c'était bien passé mais elle avait omis le fait qu'elle ne voyait plus ni Harry ni Ron. Après tout, cela ne les intéresses pas les problèmes de coeur de leur fille. En fait Hermione savait que ça les auraient beaucoup intéressés mais elle préférait fermer les yeux sur la vérité. Elle n'avait pas préciser non plus qu'elle avait fait connaissance avec un beau brun, coureur de jupon, non plus qu'elle l'avait manipulé et inviter au bal du collège qui se déroulerait dans quelques semaines. Enfin bref elle ne leurs à dévoiler que les bons côtés de son premier mois à Poudlard. La jeune fille traversais le halle d'entrée, si majestueux avec son immense porte en chêne, et bondé à cette heure-ci. Elle ne remarqua pas tout de suite que des pas se pressaient derrière elle mais dès qu'elle entendit qu'on l'interpellait et surtout dès qu'elle reconnut cette voix elle se tourna vivement et accueillis sa meilleure amie d'un sourire radieux.
« Hermione ! Comment vas-tu ? »
- Parfaitement bien et toi ?
Elle était sincèrement contente de la revoir, elles n'avaient pas vraiment eu le temps de se retrouver pour parler cette semaine, certains diront que c'est peu une semaine mais pour les deux jeunes filles c'est déjà beaucoup. Malgré que Anastassia soit une Serpentard, elle s'est tout de suite bien entendue avec Hermione. Elle se sont rencontrées dès la première année. Hermione étant à la bibliothèque, seule bien entendu car Harry et Ron ne l'accompagnait pratiquement jamais las-bas, et dans le but de paraître plus "cool" envers ses amis Serpentard, Blaise Zabinni c'est moqué des cheveux de la Griffondor pour après insulter son sang. Et c'est là que Anastassia est intervenue, prenant la défense d'Hermione. Depuis ce jour là elle étaient très proches, elles se racontaient tout, ou presque. Car Hermione n'avait pas encore parlé de ce nouveau sentiment qui l'habitait. Un mélange de méchanceté satisfaite, de culpabilité, mais surtout d'une pointe d'amour. Et cela depuis qu'elle avait invité Théodore Nott au bal. Le regard de Rusard l'arracha à ses pensées. Mais oui, il les fixaient ! Hermione se demanda ce que ce vieux bonhomme aigris et fourbe allait encore leurs reprocher.
« Je crois que Rusard me suspecte de quelque chose. Pourtant je suis presque sûre d’être innocente ! » Lui chuchota son amie un sourire malicieux du bout des lèvres.
- Tu crois ou tu est sûre ? Lui répondis Hermione réprimant un rire. En tout cas il fait froid dans le dos, vient on s'en va d'ici. Ajouta-t-elle tirant Anastassia par la manche